Le Concert du 2 Décembre 2023 au KAKTUS (89/Sens)

Samedi 2 décembre 2023.

Dernier concert de l’année pour les Shakin’ Mates. Nous posons nos flight-cases pour la deuxième fois au Kaktus à Sens, formidable club si accueillant.

Nous arrivons à l’heure, l’installation va etre un peu plus longue car l’endroit nous étant réservé est un peu exigu. Balance faite, je crois me souvenir que nous finissons vers 19h30 pour un début de concert prévu à 20h30.

Le repas se passe merveilleusement bien, quelle cuisine, très orientée portugaise et merveilleusement délicieuse.

Le début de concert est repoussé mais à l’heure H la salle est copieusement remplie !

14 chansons prévues au set 1, les 8 premières vont se passer très bien. A la neuvième, I Have A Dream, ma voix disparait presque totalement, du coup nous supprimons Rock And Roll Outlaw et lançons Day Tripper et je constate que cela ne s’arrange pas du tout ! Je fais le maximum pour que cela ne s’entendent pas mais je vis un calvaire.

Du coup, nous décidons de terminer le set par Johnny B Goode en supprimant Back In The Ussr, Hippy Hippy Shake et Bullfrog Blues. La voix revient un peu, beaucoup même, mais cela n’est pas encore parfait, cela laisse néanmoins de l’espoir pour le set 2.

La pause est bienvenue et nous attaquons le set 2. Ici, 14 chansons prévues en théorie aussi. La voix est revenue et le set se passe très bien. Nous le terminons par Bullfrog Blues. Acclamations et premier rappel !

Nous envoyons My Morning Beauty puis, nouveauté, pour la première fois I’m Goin Home de Ten Years After. Nouveau rappel et nous jouons Hippy Hippy Shake et You Gotta Move.

Rideau, après donc 28 chansons ! Quel public, quelle ambiance ! A vrai dire, je ne suis même plus certain du nombre de chansons et de rappels tant l’ambiance était extraordinaire !

Un grand merci à tout le staff, Delphine, Sandrine, Isabelle...pour leur super et très sympathique accueil. Un grand merci aux amis présents : Katy et Christophe, Lætitia, Jimmy et Nine, Dom et ses copines, Carlos et Cindy sans oublier le survolté et chaleureux public du Kaktus.